/image%2F0932222%2F20160107%2Fob_11d682_blogeditions.jpg)
Hypothèque sur les apports attendus des partenaires extérieurs au Budget 2010 tant que persistent les bouderies au Fmi devant l’avenant qui se fait attendre
sur les contrats chinois et que cette partie chinoise précisément tarde à signifier son accord sur ledit avenant
Le retard enregistré dans la signature et le transfert par la partie chinois, de l’avenant au partenariat sino-Congolais, est un coup dur pour la Rdc dont la
situation financière suscite bien des inquiétudes. Il est à noter que c’est de la rencontre au Club de Paris que dépendent les décisions qui vont émaner du Conseil d’administration
du FMI sur notre pays en guise des retombées du report de cette réunion conjointe Fonds monétaire international-Banque mondiale qui devait se tenir le 21 septembre.
Pourtant, le dernier passage à Kinshasa d’une équipe d’experts du FMI avait suscité des espoirs car, il a permis de balayer des malentendus qui empêchaient la conclusion d’un PEG 2. La voie paraissait donc bien dégagée pour la conclusion du nouveau programme avec le FMI, après les assurances que les créanciers traditionnels devaient donner lors de la tenue de la rencontre avec le Club de Paris. D’autre part, il y a tout lieu de craindre que le report intervenu ne puisse retarder l’apport de la communauté internationale au budget de la Rdc ».
Depuis lors, rien ne semble avoir changé. Bien au contraire, les choses semblent être allées de mal en pis. En effet, le report de la réunion avec le club de Paris, ayant entraîné le report d’une autre réunion qui était prévue le 21 septembre 2009, entre « le trio financier » de la République Démocratique Congo composé de Matenda, Lokola et Masangu, avec le Fonds monétaire international-la Banque mondiale, les horizons semblent temporairement bouchés.
Car, jusqu’à ce jour, la partie chinoise traîne toujours les pieds quant au dépôt de l’avenant tant attendu par les Institutions financières de Bretton Woods. D’où la colère de ces dernières qui remettent en cause quasiment tout ce que notre pays, est en droit d’attendre d’elles.
Ainsi, placé entre le marteau et l’enclume, notre pays ne peut que regretter sa trop grande dépendance de l’extérieur. Surtout qu’avec cette inconfortable situation, le budget 2010 est bloqué.
Et ce qui rend cette situation encore plus dramatique, c’est le déficit de nationalisme qui fait que ceux qui nous dirigent, sont loin de parler un même langage à ce sujet. Deux camps ont vite fait de surgir. D’un côté, ceux qui tiennent à notre partenariat avec les Institutions financières de Bretton Woods. Et de l’autre, ceux qui soutenant les cinq chantiers, tiennent mordicus à l’Accord conclu avec le consortium des entreprises chinoises.
Face à cet imbroglio, les Chinois dont on connaît le caractère peu malléable, ne peuvent que durcir leur position; Ainsi, l’équation se transforme en un véritable casse-tête. Des lois, pour qui va sonner le glas: pour le duo Fonds monétaire international-Banque Mondiale ou la partie chinoise ?
Pourtant, le dernier passage à Kinshasa d’une équipe d’experts du FMI avait suscité des espoirs car, il a permis de balayer des malentendus qui empêchaient la conclusion d’un PEG 2. La voie paraissait donc bien dégagée pour la conclusion du nouveau programme avec le FMI, après les assurances que les créanciers traditionnels devaient donner lors de la tenue de la rencontre avec le Club de Paris. D’autre part, il y a tout lieu de craindre que le report intervenu ne puisse retarder l’apport de la communauté internationale au budget de la Rdc ».
Depuis lors, rien ne semble avoir changé. Bien au contraire, les choses semblent être allées de mal en pis. En effet, le report de la réunion avec le club de Paris, ayant entraîné le report d’une autre réunion qui était prévue le 21 septembre 2009, entre « le trio financier » de la République Démocratique Congo composé de Matenda, Lokola et Masangu, avec le Fonds monétaire international-la Banque mondiale, les horizons semblent temporairement bouchés.
Car, jusqu’à ce jour, la partie chinoise traîne toujours les pieds quant au dépôt de l’avenant tant attendu par les Institutions financières de Bretton Woods. D’où la colère de ces dernières qui remettent en cause quasiment tout ce que notre pays, est en droit d’attendre d’elles.
Ainsi, placé entre le marteau et l’enclume, notre pays ne peut que regretter sa trop grande dépendance de l’extérieur. Surtout qu’avec cette inconfortable situation, le budget 2010 est bloqué.
Et ce qui rend cette situation encore plus dramatique, c’est le déficit de nationalisme qui fait que ceux qui nous dirigent, sont loin de parler un même langage à ce sujet. Deux camps ont vite fait de surgir. D’un côté, ceux qui tiennent à notre partenariat avec les Institutions financières de Bretton Woods. Et de l’autre, ceux qui soutenant les cinq chantiers, tiennent mordicus à l’Accord conclu avec le consortium des entreprises chinoises.
Face à cet imbroglio, les Chinois dont on connaît le caractère peu malléable, ne peuvent que durcir leur position; Ainsi, l’équation se transforme en un véritable casse-tête. Des lois, pour qui va sonner le glas: pour le duo Fonds monétaire international-Banque Mondiale ou la partie chinoise ?
(DN/Milor/GW/Yes)
Le Palmarès
Last edited: 26/09/2009 14:12:51
/idata%2F2934438%2Fimages4%2Fmr-jacques-kabale-ambassadeur-du-rwanda-a-paris.jpg)
/https%3A%2F%2Fassets.over-blog.com%2Ft%2Fcedistic%2Fcamera.png)
